Au-delà du côté esthétique, la rénovation d’un plafond peut être incontournable pour la sécurité des occupants de la maison puisque plus il s’abîme, plus il risque de s’effondrer. D’ailleurs, si l’on est un habitué du bricolage, on peut tout à faire procéder soi-même à la rénovation. Toutefois, quelques préalables doivent être observés.
Avant la rénovation proprement dite d’un plafond
Avant toute chose, il faut procéder à la protection des meubles. L’idéal, c’est qu’ils soient placés dans une autre pièce, puisque cela permet à la fois d’avoir davantage de manœuvre. Sinon, il faut tout au moins les recouvrir.
D’autre part, il faut bien vérifier qu’il n’y ait pas de trace d’humidité ou de moisissure sur le plafond à rénover. S’il y en a, son nettoyage est certes nécessaire mais pour que le problème ne revienne plus, il faut en déterminer l’origine, à l’exemple d’une mauvaise étanchéité, et bien évidemment y remédier. Il en est de même en présence de fissures, que l’on peut par exemple rétablir à l’aide d’un enduit.
La rénovation proprement dite d’un plafond
Pour retrouver l’apparence neuve d’un plafond, on peut faire appel à diverses sortes de revêtements. Il y a par exemple l’enduit, le papier peint, ou encore la peinture. Mais dans tous les cas, certaines préparations sont nécessaires. Tout d’abord, il faut procéder à un nettoyage et un dépoussiérage de l’ancien plafond, pour le rendre bien lisse et sain. Par ailleurs, il peut être nécessaire d’appliquer une sous-couche d’impression si le plafond à rénover est trop poreux, ou à l’inverse, c’est-à-dire s’il ne l’est pas assez, une couche d’accrochage peut être nécessaire.
Sinon, outre les revêtements, il y a aussi l’option du sous-plafond. Pouvant convenir à tous les types de support, celui-ci a notamment pour avantage d’améliorer considérablement l’isolation à la fois thermique et acoustique.